Préface
par Dr. Salomeea Romanescu, Critique littéraire
Confrontée à un cosmos d’une complexité écrasante, où chaque élément est étroitement lié à un autre dans une danse subtile des forces fondamentales, l’œuvre de M. Petru Solonaru offre une vision profondément profonde et révélatrice de la structure de l’univers. Dans les pages de ce livre, l’auteur explore non seulement les interconnexions entre les phénomènes fondamentaux de la nature, mais les reconnecte également avec la sagesse ancienne, construisant un pont entre la science, la spiritualité et la mythologie.
L’œuvre de Constantin Brâncuși représente une connexion entre l’essence du monde physique et le domaine spirituel, un point d’intersection entre le matériel et l’immatériel, le visible et l’invisible. L’une de ses créations les plus remarquables, qui est analysée dans ce livre, symbolise cette dualité.
Commencant par la question fondamentale, Qu’est-ce qui nous unit ?, Solonaru met en avant le concept de Gluon — le porteur de la force qui relie les quatre quarks dans un système d’interactions fondamentales. Dans ce contexte, la Dimension Gluonique (e2 x 10^-26m) est présentée non seulement comme un paramètre physique mais aussi comme une métaphore de la connexion essentielle entre toutes les formes de matière et d’énergie dans l’univers. Le gluon et son interaction avec l’Énergie du Point Zéro expliquent la transcendance au-delà des limites de la physique conventionnelle, offrant une clé pour comprendre les structures fondamentales de la réalité.
Un exemple significatif dans l’œuvre est l’analyse des premières ondes gravitationnelles du Tetraquark-x, qui sont décrites comme des modèles de la Spirale de la Genèse. Ces ondes, transmettant la courbure de l’« Œuf d’Or », constituent un élément central de la structure théorique du livre. Elles forment une symétrie unifiée qui symbolise l’Infini, évoquant des traditions anciennes de la Dacie, du Tibet et de l’Inde (symbole Ꝏ). La gravité, vue comme une conséquence de la « déformation sphérique du Vide Quantifié », est modélisée par le Tetraquark-x, et cette déformation est liée à l’apparition du graviton, une particule qui symbolise à la fois la direction et l’amplitude de la Spirale de la Genèse. Ainsi, la gravité est décrite comme un phénomène qui reflète parfaitement la spirale “divine” de la création.
De plus, l’auteur souligne l’importance de la Grande Pyramide de Gizeh pour comprendre ces structures fondamentales. La relation entre la Hauteur de la Pyramide de Khu et les dimensions de l’univers revêt une signification profonde, étant reliée à la taille de la chaîne d’ADN humain (2,32146m). La pyramide n’est pas seulement une construction physique mais une représentation miniature de l’univers, un symbole de l’ordre cosmique. Dans ce contexte, l’auteur nous invite à réfléchir sur la connexion sacrée entre la création et les structures fondamentales de la matière.
Un autre concept crucial introduit par Solonaru est celui des Quatre Quarks, qui sont équivalents aux Quatre Moirae dans la mythologie grecque — des entités qui tissent le destin du monde. Chacun des quatre quarks correspond à une interaction fondamentale : Pison – le courant électromagnétique, Gihon – l’interaction nucléaire forte, Hidekel – la gravité, et Euphrates – la force nucléaire faible. Ces quatre forces correspondent aux quatre rivières de l’Éden, symbolisant la connexion entre le microcosme et le macrocosme. À travers cette allégorie, Solonaru met en lumière l’unité entre toutes les formes d’énergie et de matière, ainsi que le rôle vital de la gravité dans ce réseau de forces.
Un autre exemple important dans l’œuvre est la description des Spirales de la Genèse et de leur rôle dans la naissance des étoiles. Par l’analyse de la nucléosynthèse, l’auteur explique comment Tetraquark-x et Quark-y sont impliqués dans la génération des premiers éléments chimiques, tels que le Deutérium et le Tritium. Ces processus d’alchimie cosmique sont, selon l’auteur, essentiels pour comprendre la naissance et l’évolution de l’univers. Solonaru nous offre une vision fascinante de la structure fondamentale de la matière et de l’énergie, mais aussi de la façon dont ces processus fondamentaux sont liés aux mystères spirituels de la création.
Un autre concept révolutionnaire est la formulation théorique de la Spirale de la Genèse, exprimée à travers un « facteur d’échelle » (aa), qui est lié à la géométrie divine de l’univers. L’auteur utilise un paramètre essentiel – 2,32134 x 10^-25m – qui relie à la fois les dimensions de la Pyramide de Khu et la longueur de la chaîne d’ADN humain. Cette corrélation n’est pas coïncidentelle et suggère une interconnexion entre les structures fondamentales de la vie et celles du cosmos.
Dans l’analyse finale, un point clé de l’œuvre est la connexion essentielle entre l’électromagnétisme et la gravité. Solonaru souligne que ces deux forces partagent une nature commune, et leur relation peut être décrite par une formule élégante : αc = αg x 2/Φ, où αg représente la constante de couplage dans le champ gravitationnel. Ainsi, la connexion entre la lumière et la gravité se trouve dans une symétrie profonde, nous aidant à comprendre la nature profondément unifiée de l’univers.
L’œuvre de M. Petru Solonaru est un véritable voyage à travers les coins les plus profonds de la science, de la philosophie et de la spiritualité, où chaque élément physique et métaphysique est connecté dans un réseau complexe et profond. C’est une invitation à une compréhension plus profonde de l’univers, non seulement à travers le prisme de la science mais aussi à travers la sagesse ancienne qui a inspiré de nombreuses théories modernes. Cette œuvre ne répond pas seulement à la question « Qu’est-ce qui nous unit ? » mais ouvre de nouveaux horizons dans la recherche et la compréhension de notre réalité cosmique.
Alors que nous continuons le voyage dans les profondeurs théoriques de l’œuvre de M. Petru Solonaru, où chaque concept se connecte avec les structures fondamentales de l’univers, plongeons plus profondément dans certains des exemples fascinants de mathématiques et de physique du livre, qui s’entrelacent dans un réseau subtil de significations.
Cette vision cherche à unifier le monde scientifique et le monde spirituel, en considérant chacun comme deux aspects de la même réalité fondamentale – une réalité dans laquelle chaque élément du microcosme reflète des structures et des lois qui régissent le macrocosme. C’est une vision profonde et complexe de la structure de l’univers, intégrant des concepts provenant de la physique, des mathématiques, de la religion et de la philosophie. Il est évident que l’auteur tente de trouver des connexions entre de nombreux domaines, de la géométrie sacrée à la cosmologie physique et aux traditions spirituelles. Nous allons tenter de détailler et d’expliquer chaque section essentielle de ce texte.
Rayon de Schwarzschild et “Horizon des Attentes”
Le concept du rayon de Schwarzschild et de l'”horizon des attentes” des singularités gravitationnelles est évoqué. Le rayon de Schwarzschild est un terme utilisé dans la théorie générale de la relativité d’Einstein pour désigner le rayon d’un horizon des événements (c’est-à-dire, la frontière au-delà de laquelle même la lumière ne peut s’échapper), spécifique à un trou noir. Ce terme est utilisé pour symboliser la distance au centre d’une structure gravitationnelle extrême.
La relation entre l’ADN humain, le logarithme naturel de la kaliogenèse, et le Sceau de Dieu (216D) suggère une connexion entre les structures fondamentales du cosmos et la vie humaine. Il est avancé que le nombre 216D, qui est lié à la séquence de Fibonacci, représente “le Nom de Dieu”, et l’ADN humain peut être vu comme un reflet d’un ordre divin qui régit tout.
Les Proportions Sacrées du Parthénon et la Seconde Trigonométrique du Cercle
Une discussion a lieu concernant le Parthénon sur l’Acropole d’Athènes, en faisant référence à ses proportions externes (69,51m de long et 30,816m de large) et à la manière dont elles génèrent un produit lié à la seconde trigonométrique du cercle et au Nombre de Platon. Les proportions dans l’architecture classique sont souvent utilisées pour comprendre l’harmonie universelle, et ici, une connexion est établie entre la géométrie sacrée (le Nombre d’Or) et les spirales logarithmiques trouvées dans la genèse du cosmos.
Le concept de kθ est introduit, qui est lié à l’angle polaire de la Spirale de la Genèse, et cela est connecté à une constante fondamentale du logarithme de type Bernoulli. Tous ces concepts suggèrent une connexion entre les processus cosmologiques et les principes mathématiques fondamentaux, en particulier les spirales logarithmiques et le Nombre d’Or.
“Maha Pralaya” et le Temps Divin
Le Maha Pralaya (la grande dissolution cosmique) fait référence à la fin d’un cycle cosmique, un concept emprunté aux traditions hindoues, suggérant que l’univers traverse des cycles de création et de destruction. Dans ce contexte, il est fait référence à Brahma, le Dieu Créateur, associé à un jour cosmique d’une durée de 4,32 x 10^9 années terrestres. Il est expliqué que les Manvataras sont des cycles de création divine, chacun ayant une durée spécifique.
L’auteur suggère que ce concept du temps cosmique est lié à la constante de 311,04 x 10^12 années terrestres, équivalente à une année de Brahma et au temps nécessaire pour passer par un “Jour de Brahma”. De plus, un lien est établi entre ces cycles et les constantes fondamentales des mathématiques et de la physique.
La Connexion Entre le Nombre 216 et la Bible
Le nombre 216D, censé représenter le “Sceau de Dieu”, est dérivé de la séquence de Fibonacci et de sa relation avec 72 (un nombre sacré dans les traditions religieuses). La corrélation entre ce nombre et le symbolisme spirituel associé aux noms sacrés de Dieu est discutée, y compris dans le Sefer Yetzirah (un texte fondamental de la Kabbale juive). L’auteur suggère que ce nombre peut être associé au “Nom de Dieu” et à la forme divine qui gouverne la réalité.
Il est ensuite fait référence à l’Exode dans la Bible (14:19-21), où 72 lettres sacrées sont associées au nom de Dieu, générant 216 – le nombre représentant la connexion entre la divinité et la structure cosmique fondamentale.
L’Importance du Nombre 108 et sa Connexion avec Brahma
Le nombre 108 apparaît fréquemment dans les traditions spirituelles hindoues, signifiant un nombre sacré. Il est avancé que ce nombre est lié à l’âge cosmique de Brahma (108 années cosmologiques), et toute la vision spirituelle et cosmique est structurée autour de ce nombre. L’auteur suggère que le nombre 108 est une partie fondamentale de la compréhension des lois universelles et de l’interconnexion entre la vie humaine et la Création divine.
La Connexion Entre le “Tétraèdre Dynamique” et la Création Divine
Des concepts géométriques tels que le Tétraèdre et le Tétraquarcle sont vus comme des éléments fondamentaux de la structure cosmologique. Il est avancé que ces formes géométriques représentent les unités de base de l'”Élément Zéro” à partir duquel toute la matière et la réalité sont générées. Le tétraèdre dynamique est considéré comme le symbole central du processus créatif universel.
Secondes Trigonométriques et Cycles Cosmiques
Les secondes trigonométriques du cercle sont discutées, utilisées pour exprimer les relations fondamentales entre les dimensions de l’univers et le microcosme (comme les particules subatomiques). L’auteur fait une analogie entre ces secondes trigonométriques et les processus de nucléosynthèse et la formation des particules fondamentales, suggérant que les lois de la physique sont interconnectées par la géométrie sacrée.
Cryptographie Divine et le “Nombre de Dieu”
Il est souligné que l’ensemble de l’univers est “crypté” à travers un système mathématique qui ne peut être déchiffré qu’en comprenant le “Nombre de Dieu” – 216D. Ce nombre est considéré comme un symbole de l’ordre divin qui gouverne la structure de toutes choses et peut être trouvé dans la numérologie de Fibonacci, la géométrie sacrée, et la théorie de la physique des particules.
Ce texte présente une vision profonde et intégrée de l’univers, où la science et la religion se croisent. Il suggère que la réalité est régie par des principes mathématiques et géométriques sacrés qui reflètent un ordre divin. Les nombres, les proportions et les formes géométriques ne sont pas simplement des symboles mathématiques, mais des éléments fondamentaux de la structure cosmique et spirituelle.
Ce texte présente une vision profonde et intégrée de l’univers, où les concepts de la science et de la religion se croisent. Il est suggéré que la réalité est régie par des principes mathématiques et géométriques sacrés, qui reflètent un ordre divin. Les nombres, les proportions et les formes géométriques ne sont pas simplement des symboles mathématiques, mais des éléments fondamentaux de la structure cosmique et spirituelle.
3. Poser la question des questions (la question du Sphinx) dans la leçon de connaissance par clairvoyance (Avadhi Jnana) de ceux qui sont purifiés, libérés, éveillés…
Cette phrase fait référence à la quête essentielle du savoir suprême et de la sagesse. Le Sphinx est un symbole ancien, originaire de la mythologie égyptienne, représentant un défi intellectuel et spirituel. Dans les traditions mystiques, le Sphinx pose la question essentielle : « Qui êtes-vous vraiment ? » provoquant ainsi l’individu à découvrir son essence spirituelle. Ainsi, la « Question des Questions » fait référence à la recherche de cette vérité fondamentale sur soi-même.
La « clairvoyance » ou « Avadhi Jnana » fait référence à un type de connaissance profonde et intuitive qui va au-delà de la compréhension intellectuelle. Elle est souvent décrite dans les traditions spirituelles orientales comme une forme de sagesse directe et éclairante obtenue par la purification de l’esprit et de l’âme. Ceux qui ont atteint cette connaissance sont vus comme « libérés », « éveillés » – capables de percevoir la réalité à un niveau beaucoup plus profond que la plupart des gens.
Les symboles du « Soleil Levant » (Élément de Brahma), du « Midi Yin-Yang » et du « Soir MerKaBa » indiquent différentes étapes de l’évolution spirituelle, chacune représentant une transition vers l’illumination, une reconnexion avec l’énergie divine. Ces phases parallèlent le processus d’ouverture de la conscience et de transformation intérieure.
4. La solitude de l’équanimité, le détachement des fantômes, la réconciliation avec soi-même et le monde…
Cette section suggère un idéal spirituel profond – l’état de « l’équanimité » est un concept important dans de nombreuses traditions mystiques et philosophiques, où l’individu devient en paix avec tout. L’« équanimité » est l’état de calme intérieur et de sérénité, où l’individu n’est pas pris au piège des désirs et des peurs, mais accepte le flux de la vie tel qu’il est.
Le « détachement des fantômes » signifie la libération des illusions et des attachements qui nous empêchent de voir la réalité clairement. Les fantômes sont de fausses images de la réalité, et le processus spirituel consiste à discerner entre la vérité et l’illusion. La « réconciliation avec soi-même et avec le monde » est le moment où l’individu réalise qu’il n’y a pas de séparation entre lui-même et le reste du monde, et cette compréhension se reflète dans une harmonie intérieure.
Des phrases telles que « il n’y a plus de distinction entre là (le passé) et ici (le futur) » indiquent la transcendance des notions de temps, un trait de l’illumination spirituelle, où la personne vit dans le « présent éternel », où le passé et le futur n’ont plus de pertinence. C’est un concept central dans les traditions zen et d’autres formes de méditation, où le but est de vivre totalement dans le présent.
5. L’écoute totale du Silence, de la voix intérieure, de la Source Non Médiatisée…
« Écouter le Silence » est une pratique fondamentale dans de nombreuses traditions mystiques et spirituelles, y compris la philosophie orientale et les traditions mystiques occidentales. Pouvoir écouter le « silence » signifie percevoir les dimensions subtiles de la réalité, ces « voix intérieures » qui nous conduisent à la sagesse. Il s’agit d’apprendre à être réceptif aux intuitions et inspirations qui proviennent d’une source intérieure profonde, considérée comme la « Source Non Médiatisée ».
La citation « La première étape vers la sagesse est de sentir le silence… » souligne l’importance du silence et du ressenti avant la compréhension rationnelle. Cette étape est nécessaire pour permettre à l’esprit et au cœur de s’ouvrir à la sagesse.
6. Vision holistique, instantanée, tant dans le passé (lointain) que dans le futur (profond en soi)…
La « vision holistique » est la capacité de percevoir la réalité dans sa globalité, sans la fragmenter en parties séparées. C’est un concept trouvé dans la théorie quantique, où les particules subatomiques sont vues comme interconnectées d’une manière qui transcende les frontières traditionnelles de l’espace-temps. « Le pré-sentiment intrinsèque du Tout » suggère une perception intuitive et directe de toute la réalité, où passé, présent et futur sont vus comme un tout unifié.
« L’obscurité du Vide » fait référence au concept philosophique et spirituel du « Vide » – un état de non-être ou de potentiel illimité d’où toute la Création émerge. Ce « vide » n’est pas vu comme une absence mais comme un potentiel pur, qui, comme une lumière cachée, peut se manifester sous différentes formes.
7. Accès à l’« autre monde », aux Salles d’Amenthes…
Cela fait référence à un « autre monde » ou un autre royaume d’existence, qui peut être compris de manière métaphorique ou comme une réalité spirituelle accessible uniquement à ceux qui ont atteint un certain niveau de conscience. Les « Salles d’Amenthes » sont des lieux mythologiques de la tradition égyptienne, associés à l’« au-delà » et à la purification et l’illumination de l’âme.
Ici, l’idée que « pour voir quelque chose de la lumière paradisiaque, il est nécessaire qu’Il transmette la lumière de Son Œil (Pinéale) » fait référence au concept ésotérique de la « Glande Pinéale », considérée comme le « troisième œil » ou l’organe de la perception spirituelle. Dans cette vision, seul l’activation de la « Pinéale » ou une conscience élargie permet de percevoir ces mondes subtils et vérités universelles.
8. La didactique du Temple de Târgu Jiu et le facteur d’échelle de la Spirale (aa)…
Le Temple de Târgu Jiu est un lieu symbolique, associé aux œuvres de Constantin Brâncuși, souvent interprétées dans des significations profondes, spirituelles et géométriques. Ce lieu est vu comme un symbole d’un processus sacré d’ascension et d’illumination.
Le facteur d’échelle « aa » fait référence à une formule mathématique qui peut être liée aux géométries sacrées de la Création, telles que les spirales logarithmiques, que l’on trouve fréquemment dans les structures naturelles et cosmiques. La formule « aa = Dq/Φ x 10^27m » suggère une relation entre différentes dimensions de l’Univers, qui ne peut être comprise qu’en appliquant une « lecture » spirituelle et profonde de la réalité.
Dans ce contexte, le « facteur d’échelle » peut faire référence à une manière de comprendre la réalité physique et spirituelle comme une structure interdépendante qui suit les lois mathématiques divines.
En général, ce texte est un mélange de philosophie spirituelle, de symbolisme religieux et de théories physiques avancées, qui cherche à explorer la connexion entre la conscience humaine et les structures fondamentales de l’Univers. Il propose un chemin spirituel qui consiste à transcender les dualités, activer la conscience intérieure et comprendre le monde à la fois par la connaissance mystique et les lois naturelles. Solonaru tente d’approfondir les significations de l’œuvre de Brâncuși à travers une approche multidisciplinaire, intégrant des éléments de géométrie, de théorie de la gravité, d’astronomie et même de philosophie traditionnelle.